José Manuel Barroso nouvelle marionnette de Goldman Sachs !
Débarrassons-nous de la corruption de la finance internationale !
L’ancien président de la Commission européenne, Jose Manuel Barroso devrait, selon le Financial Times, rejoindre la banque Goldman Sachs. Le tableau de chasse de Goldman Sachs est particulièrement scandaleux et révèle la puissance de la finance qui gangrène l’Union européenne contre les peuples et l’économie réelle.
Cette banque n’a pas seulement déclenché la crise de 2008 mais elle a prospéré sur les malheurs qu’elle avait générés.
Ainsi en Grèce, Goldman Sachs a aidé les dirigeants nationaux et européens à dissimuler leurs fraudes comptables tout en spéculant sur la dette d’Athènes avant et pendant la crise !
D’une manière générale, Goldman Sachs a monté de toute pièce les modèles fous d’endettement massif des pays occidentaux, tout en spéculant sur les effets dévastateurs de ces politiques sur l’économie réelle.
En 2011, Bruxelles et le FMI ont soutenu de nouveaux dirigeants en Grèce et en Italie. Les premiers ministres Geórgios Papandréou et Berlusconi avaient été remplacés par Loukás Papadímos et Mario Monti, tous deux ex-salariés de Goldman Sachs.
La même année, Mario Draghi, vice-président de la branche européenne de Goldman Sachs est devenu Président de la Banque centrale européenne. Il mène depuis une politique très favorable à la finance et n’a jamais accepté de répondre sur les conflits d’intérêts soulevés par les parlementaires et la presse.
Président de la Commission européenne pendant toutes ces années fastes pour Goldman Sachs, Manuel Baroso est recruté pour ses bons et loyaux services. On connait déjà sa mission, aider Goldman Sachs à continuer ses petites affaires malgré le Brexit et la volonté des peuples de redevenir maitres de leur destin.
Il trouvera une aide précieuse auprès de Jean-Claude Juncker, actuel Président de la Commission européenne et ancien Premier ministre d’un gouvernement luxembourgeois champion toute catégorie de la fraude fiscale organisée pour les multinationales.
Il n’est plus tolérable que les contribuables et les vraies entreprises continuent à engraisser la finance internationale.
Seules des démocraties souveraines et qui coopèrent dans une belle Europe des Nations, permettront aux peuples de se débarrasser du poison de la finance internationale.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France
Candidat à l’élection présidentielle